..Bienvenue aux passionnés de la Corse.

mardi 10 février 2009

Un peu d'histoire



une guerre nouvelle fut résolue contre la Corse. Marius Claudius,http://pagesperso-orange.fr/miltiade/gaius_marius.jpg lieutenant de Licinius, partit et ne tarda pas à prendre terre dans l'île. Là, se voyant à la tète d'une armée respectable, il se croit en état de soumettre les insulaires avec lesquels il ne tarda pas à engager le combat. La victoire ne demeura pas longtemps incertaine, et les troupes de Claudinus, assaillies de toutes parts, étaient au moment d'être taillées en pièces, lorsque la présence de Licinius vint mettre la victoire du côté des Romains.


Plus tard, Rome se vit obligée
d'entreprendre de nouvelles expéditions contre cette île. Prévoyant que
les Corses parviendraient tôt ou tard à secouer le joug de l'étranger
et lui feraient toujours subir des pertes considérables, le sénat
ordonna, en 590, l'envoi d'une armée consulaire pour les réduire à
jamais. Le consul, M. Tarentius Talno, fut placé à la tête de
l'expédition. La victoire resta aux Romains, et Talno mérita les
honneurs du triomphe. A la suite de cette longue et pénible lutte, la
paix générale fut enfin conclue, et la Corse cessa d'être indépendante. Marins
et
Sylla
http://www.ystari.com/wordpress/wp-content/uploads/2008/09/sylla.jpg
y fondèrent des colonies, et le premier fit bâtir, à

l'embouchure du Golo, une ville q ni fut appelée Mariana du nom de son
fondateur. Cette époque (de 660 à 673) apparaît comme une des plus
brillantes de l'histoire de la Corse.



La Corse, bien que soumise, jouit d'une
certaine liberté tant que Rome fut libre ; mais, depuis la dictature de
Jules César, elle perdit, comme le reste du monde, le droit de
s'administrer elle-même. Elle reçut aussi un préteur ou préside qui
représentait le despote de la métropole. Sous l'empire , elle partagea
le sort commun. Pendant la domination de Claude
Sénèque le philosophe

exilé en Corses fut confiné sur la pointe du Cap-Corse, où il paraît
avoir habité une tour qui a conservé son nom. Lors de l'affaiblissement
de l'empire et de la résolution de Dioclétien de le partager avec

Maximienhttp://pagesperso-orange.fr/palladia/musee_emp_maximien01_miniature.JPG,

l'île de Corse resta sous le gouvernement du premier (202).

Elle servit ensuite d'asile, avec la Sicile et la Sardaigne, aux
Romains qui fuyaient devant les Goths conduits par Radagaise, et tomba en 457 sous la puissance redoutable de
Genséric
.

Les Vandales

exercèrent dans cette île toutes sortes d'atrocités. Ils en furent
chassés après une domination de soixante-dix-sept ans. Les Grecs leur
succédèrent ; mais ceux-ci furent contraints d'abandonner à leur tour
le pays à Totila.



Les exploits de

Narsès


qui détruisit la
puissance des Goths, firent rentrer la Corse sous la domination
impériale. Les habitants furent très malheureux à cette époque. Il y
eut un moment où la tyrannie des agents impériaux n'eut plus de bornes.
Les insulaires ne pouvaient et ne savaient plus se soustraire aux
vexations auxquelles ils étaient en butte qu'en fuyant sur une terre
étrangère.




Saint Grégoire nous apprend que les Corses, abandonnant en

foule leur pays natal, cherchaient un asile sur le continent et
demandaient aide et appui aux ducs lombards. Les charges que leur
imposaient les Grecs étaient. si énormes qu'ils étaient obligés de
vendre leurs enfants pour y satisfaire. Les Sarrasins eurent leur tour
en Corse ; mais leur empire ne fut que de courte durée, et c'est ainsi
que l'île se trouva comprise dans les stipulations que Pépin fit à
l'autorité papale en 754.




Dans la suite, les successeurs de
Charlemagne


firent donation de l'île à la famille de Boniface, baron

de Toscane. A la mort de l'empereur Hugues, devenu marquis de Toscane
par la mort de Lambert, dernier rejeton de la famille illustre de
Boniface (928), tous les petits barons ou seigneurs des provinces de
l'île devinrent autant de souverains en Corse. Chaque seigneur féodal
eut son gouvernement. Le peuple applaudit d'abord à cette mutation dans
le pouvoir. Ses illusions et ses espérances le rendirent complice d'une
foule d'usurpations qui allaient se commettre en son nom.




En effet, les comtes du pays ne tardèrent
pas à s'attaquer réciproquement, chacun nourrissant l'espoir de joindre
à son État les possessions de son voisin. Le pays entier fut bientôt en
combustion. Tous les liens sociaux se trouvèrent brisés ; la loi
n'était plus qu'un vain mot. En cet état de choses, le comte de
Cinarca, le plus puissant des seigneurs insulaires, entra en campagne à
la tête d'une armée considérable. Il avait conçu le projet d'assujettir
tous les barons et de se rendre unique souverain du pays. Au milieu de
ces circonstances désastreuses, le peuple fatigué de souffrir prit les
armes pour son compte. Il mit à sa tête un homme de génie,

Sambacuccio


qui le réunit dans la vallée de Morosaglia, où il fut investi d'une
espèce de dictature (en 1005).



Le résultat de cette grande et solennelle
assemblée du peuple fut immense. Le chef de la nation corse fit rentrer
tout le monde dans l'ordre, proclama l'indépendance des communes et
anéantit la féodalité. Sous l'influence de cette révolution, une
organisation remarquable se développa dans l'île. Chaque commune ou
paroisse nommait un certain nombre de conseillers qui, sous le nom de Pères de commune,
étaient chargés de l'administration de la justice sous la direction
d'un podestat qui en était comme le président. Les podestats des
communes de chacun des États ou districts affranchis élisaient un
membre du suprême conseil chargé de faire les lois et règlements. Ce
fut le conseil appelé des Douze, du nombre des districts qui
concouraient à sa nomination. Enfin, dans chaque État ou district, les
pères de commune élisaient un magistrat qui, sous le nom de Caporale,
avait mission de défendre les intérêts des pauvres et des faibles et de
leur faire rendre justice contre les puissants et les riches.

Cette absence un peu trop prolongée
éveilla bien des craintes dans l'île ; et les plus chauds partisans de
Théodore finirent par porter les vœux douleurs compatriotes un peu
partout. Sur ces entrefaites, Gênes venait d'obtenir du cabinet de
Versailles une espèce de médiation armée confiée aux soins du comte de
Boissieux. La présence de l'envoyé de France fut agréable aux
insulaires, persuadés, en général, que le roi leur serait conservé, ou
du moins, que les armes françaises n'avaient point pour but de les
assujettir de nouveau à la république génoise. Mais les choses
changèrent de face, le jour où le comte de Boissieux prit ouvertement
parti pour Gènes. La lutte s'engagea presque aussitôt entre les Corses
et les Français, et nous devons à la vérité de dire que ceux-ci furent
mis par les braves montagnards dans une complète déroute.



La nouvelle de ce désastre inattendu
irrita Louis XV. Le comte de Boissieux étant mort, le marquis de
Maillebois y fut envoyé pour le remplacer, et on mit sous ses ordres
une force armée assez considérable. Maillebois fut plus heureux que son
prédécesseur : secondé par un certain nombre de chefs corses et surtout
par Hyacinthe Paoli, il soumit enfin l'île. Quoique cette nouvelle
domination eût été imposée par la victoire à des patriotes malheureux
et épuisés, le gouvernement français aurait été aimé par la très grande
majorité des insulaires ; mais la cour de Versailles ne jugea pas à
propos de profiter et de jouir de son triomphe. Soit faiblesse, soit
complication des affaires extérieures, à la suite de la mort de
l'empereur Charles VI, l'ordre fut donné à Maillebois d'évacuer
immédiate- ment l'île et de l'abandonner aux Génois (1741). Il en
résulta une nouvelle prise de possession de la part de Gènes,
représentée par Spinola, et une nouvelle. insurrection de la part des
Corses.


http://www.kamaxx.com/jdlf/img/photos/2754_1.jpg
Alors un grand homme venait d'arriver en
Corse, c'était Pascal Paoli, fils d'Hyacinthe. Simple officier au
service du roi de Naples, il résolut d'aller délivrer sa patrie de la
tyrannie. Arrivé en Corse, on le proclama général de toutes les forces
de la nation. A ce titre, il réunit dans les premiers jours de juillet
1755 une consulte générale, il organisa le gouvernement de l'île et se
prépara à la défense. Paoli se montra dès ses premiers actes à la
hauteur des circonstances : son génie politique pacifia l'île en
quelques années, anéantit la vendetta, unit les chefs des anciens États et éloigna pour toujours du centre de la Corse la maudite domination génoise.




Chose remarquable, le philosophe de Ferney, qui n'a pas toujours été juste pour les Corses, a parlé de Paoli avec admiration : « L'Europe,
a-t-il dit, le regardait comme le législateur et le vengeur de sa
patrie. Les Corses, ajoute-t-il sur le même sujet, étaient saisis d'un
violent enthousiasme pour la liberté, et leur, général avait redoublé
cette passion si naturelle, devenue en eux une espèce de fureur. » Nous manquerions à la mémoire de Paoli, si nous ne citions de lui les paroles suivantes : « Il
faut que notre administration ressemble à une maison de cristal où
chacun puisse voir ce qui s'y passe. Toute obscurité mystérieuse
favorise l'arbitraire du pouvoir et entretient la méfiance du peuple.
Avec le système que nous suivons, il faudra bien que le mérite se fasse
jour, car il est presque impossible que l'intrigue résiste à l'action
épurative de nos élections multiples, générales, fréquentes. »

Le Dio vi salvi Regina est adopté comme hymne national corse.
L'image de l'Immaculée Conception de la Vierge figure désormais sur les étendards des insurgés.
L'exécutif est confié à trois primats : Giafferi, Paoli et Ceccaldi.


Ces belles paroles montrent bien quel
était l'homme qui présidait aux destinées de la Corse vers l'année
1767. Nous devons signaler à cette époque un fait sans importance par
rapport à l'histoire générale de la Corse, mais qui mérite d'être
remarqué, parce qu'il ne contribua pas peu à la fortune de la famille
Bonaparte. En 1767, Charles Bonaparte était secrétaire de Paoli ; il
épousa Laetitia Ramolino qui donna le jour deux années après à
Napoléon, dont Paoli fut le parrain.



A l'époque de Paoli, l'Europe entière
admirait les prodiges de son génie. Le grand Frédéric lui envoya une
épée d'honneur dont la lame portait pour inscription : Patria, Libertas !
J.-J. Rousseau écrivait sur l'avenir de cette île célèbre la plus noble
prophétie que jamais peuple ait vu réaliser à son profit. Le monde
entier avait les yeux sur ce berceau de héros et de grands hommes. Mais
que faisait Gênes en ce temps-là ? Expulsée tout à fait de la Corse,
menacée presque dans ses murs, grâce aux efforts prodigieux de Paoli,
qui non seulement voulut améliorer le pays, mais qui songea à lui créer
des forces maritimes, elle supplia la cour de Versailles de venir à son
secours ; mais trompée dans son espoir de ce côté, puis humiliée des
mille défaites qu'elle avait subies coup sur coup, elle céda enfin à la
France ses droits sur une contrée qu'elle ne pouvait plus asservir.



L'offre de Gênes fut acceptée en 1768
(15 mai), 

 le comte de Marbeuf 
parut avec une armée sur les côtes
d'Ajaccio, pour soumettre tout le pays. La soumission eut lieu, mais
non pas sans beaucoup de sang répandu de part et d'autre. Paoli,
quoique réduit à des forces très peu considérables et à l'occupation de
quelques petits forts sans importance, sut résister au marquis de
Chauvelin, qui avait remplacé M. de Marbeuf. M. de Vaux succéda au
marquis de Chauvelin ; une action générale fut engagée près de
Ponte-Nuovo, et Paoli, poursuivi de près, écrasé par le nombre, ne dut
son salut qu'à la vitesse de son cheval. Il se réfugia en Angleterre,
royaume auquel il avait voulu soumettre sa patrie.



La Corse reconnut, dès lors, la
souveraineté de la France. Paoli parvint, il est vrai, sous la Terreur,
à délivrer l'île d'une domination qu'il jugeait nuisible aux intérêts
de ses compatriotes, et à la soumettre aux Anglais. Mais ceux-ci furent
chassés de l'île, lors de l'invasion de l'Italie par les armées de la
République. Telle est, en résumé, l'histoire de la Corse, peuplée
encore aujourd'hui par une race d'hommes braves, courageux,
intelligents et qui conservent à un très haut degré l'amour de la
patrie.




Au nombre des Corses qui furent les
premiers à reconnaître les nouveaux dominateurs était un jeune avocat
de vingt-trois ans,
Charles Bonaparte,
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/b6/Bonaparte_Charles_Lucien_1803-1857.png/180px-Bonaparte_Charles_Lucien_1803-1857.png
descendant d'une famille

d'hommes de loi anoblis, d'origine toscane, qui s'étaient établis à
Ajaccio, au commencement du XVIIe siècle. Charles Bonaparte
était un homme de mœurs douces qui avait épousé une femme célèbre par
sa beauté,
Laetitia Ramolino



.

Ils eurent pour fils Napoléon.



-
http://napoleonbonaparte.files.wordpress.com/2007/08/blog-portraits-de-napoleon-bonaparte.jpg


-

Aucun commentaire:


Bastia





Le vieux port de Bastia

http://media.paperblog.fr/i/69/692681/bastia-vieux-port-L-2.jpeg
Coeur historique de la cité, le Vieux port de Bastia, accueille également un port de Plaisance.

Une balade jusqu'à la jetée du Dragon qui fut édifiée au XIXème siècle s'impose pour contempler la vue. On peut y apercevoir par beaux temps l'archipel Toscan : l'île d'Elbe, Capraïa et Monte Cristo.

La place Saint Nicolas
Idéal pour boire un café en contemplant la statue de Napoléon Ier. Carrefour incontournable de Bastia, la place saint Nicolas héberge aussi l'office du tourisme, ainsi que de nombreux cafés.
http://kibu2b.k.i.pic.centerblog.net/qkckg145.jpg

http://www.bastia-tourisme.com/





St Florent

St Florent:

http://www.routard.com/images_contenu/communaute/photos/publi/005/pt4082.jpg

Construit à fleur d'eau au fond d'un des plus beaux golfes de méditerranée, Saint Florent bénéficie d'une position géograhique de premier ordre de par la desserte aérienne et maritime de Bastia située à 20 km.

Entre ciel et mer, jet ski, planches à voile, parapente, randonnées pédestres, pétanque,...


http://www.corsica-saintflorent.com/index.php


Calvi


La citadelle de Calvi

Qui va à Calvi tombe forcément à un moment ou un autre devant sa citadelle ! En effet, difficile de râter cette très imposante construction à fleur d'eau, bâtie sur un amas rocheux. C'est un très beau monument aux formes sobres, rigoureuse et qui semble pourtant empreinte d'un certain romantisme. Elle se fond parfaitement dans le décor, et se marie à merveille aux couleurs des roches, à celles du ciel et de la méditerrannée ! C'en devient presqu'étonnant pour un monument militaire !


La citadelle a été construite au 15e siècle par les italiens et selon les preceptes génois d'usage ! A l'époque, c'est sans doute l'une des mieux conservé du bassin méditerranéen ! A l'itnérieur on trouve aujourd'hui des petites habitations toutes collées les unes aux autres, des ruelles étroites et pleines de charmes ainsi qu'une église magnifique : l'Eglise Jean Baptiste !


Train côtier

http://www.routard.com/images_contenu/communaute/photos/publi/053/pt52798.jpg

En prenant le petit train côtier qui conduit en été de Calvi à l'Ile Rousse, il est possible de s'arrêter à Algajola le long de la plage d'Aregno. A environ 500 m se trouve une carrière abandonnée de granit rose et jaune. Mais arrêt obligatoire à la fabuleuse plage de Ste Restitude, il ya un peu d'escalade pour y arriver mais ca vaut le coup! Vue sur les montagnes environnantes et la citadelle de Calvi.
Un conseil aussi: faire attention aux horaires de train de retour, ils ne passent pas regulierement.

Plage d'Algajola
Ce petit village est très mignon....la plage est superbe, idéal pour faire la crêpe sur le sable, barboter ou faire du jet....de la planche à voile même! Envie de prendre du bon temps sur une jolie plage? Algajola vous comblera...


http://www.balagne-corsica.com/page.php?idpage=165

Corte

Corte
Corte la belliqueuse est une merveille de pittoresque, une des perles de la Corse." Ces lignes, extraites d'un ouvrage de 1937, sont au diapason de l'enthousiasme qu'a toujours suscité chez les voyageurs la cité ancrée à flanc de montagne, par niveaux successifs. Comme si ses bâtisseurs s'étaient inspirés des cultures en terrasses de leurs voisins paysans pour imaginer ce labyrinthe de venelles et d'escaliers qui ouvrent sur des placettes tranquilles, ces porches obscurs et frais, ces rues bordées de hautes maisons de pierre aux façades percées de fenêtres à jalousies.Au coeur géographique de l'île, à la rencontre des trois vallées du Tavignano, de la Restonica et de l'Orta, elle est un verrou sur le passage est-ouest, à travers l'épine dorsale montagneuse.Sa vocation militaire était donc évidente. Aujourd'hui comme hier, la citadelle est la vedette de la cité : ses visiteurs ont toujours été bluffés par le vertigineux "nid d'aigle" du XVe siècle, en équilibre sur la pointe d'un éperon rocheux, qui s'élève comme une falaise verticale et étroite au-dessus de la ville. Ce fortin de légende se visite toujours. Après leur victoire de 1769 contre Paoli, les Français l'ont entouré de casernes, de murailles, et d'un glacis à la Vauban. C'est dans cet ensemble que le musée de Corte trouvera sa place, à une portée de fusil du nid d'aigle.

Porto-Vecchio


Falaises, plages, criques, autant de paysages enchanteurs dont les heureux visiteurs de Porto-Vecchio profiteront. Découvrez la Corse par son artisanat - Porto-Vecchio en est la capitale - et par sa gastronomie où charcuterie, vins et fromages sont au rendez-vous. Propices à la flânerie, les ruelles pittoresques et les passages voûtés vous offriront une promenade-détente idéale après un bon repas corse. Cette ville et sa région raviront également les sportifs : ski nautique, plongée, escalade ou encore rafting vous sont proposés dans des sites exceptionnels!


Vie locale

Port de plaisance. Station balnéaire et centre touristique en plein développement. Marché : dim. matin. Foire, fête et procession 24 juin. Fête folklorique du Luddaredu : 31 juill. Fersival de l'humour : mai. Importants équipements touristiques et de loisirs, village de vacances*, camps de naturistes, campings. Tous les sports nautiques ; clubs hippiques et hippodrome ; associations sportives : pêche, chasse. Golf de Lezza : 6 trous compacts. Nombreuses excursions* et promenades. Artisanat créateur de la Corsicada
artisan coutelier, taillerie de corail... Office de tourisme.

http://www.ot-portovecchio.com/Fr/

Ajaccio

Ajaccio, comme le montre sa réputation, sait charmer ses visiteurs par sa lumière et son histoire. Chaque ruelle, chaque église, rappelle le souvenir de Napoléon Bonaparte. Visitez la Cathédrale et la Chapelle Impériale, et profitez des marchés colorés qui émoustillent les papilles. A ne pas rater également, le Musée Fesch, gardien de la plus belle collection de peintures primitives italiennes après celle du Musée du Louvre!
Musée Fesch à Ajaccio


Vie locale

Station climatique d'été* et d'hiver, microclimat tempéré. Ports de plaisance Charles Ornano, Tino Rossi. Marché : quotidien. Marché aux puces : dim. matin. Foire aux fleurs : en août. 18 mars : fête de Notre-Dame-de-la-Miséricorde, procession, illuminations. Vendredi Saint : procession à travers la ville. Veillée pascale : réunion autour du feu de bois qui sert à allumer la flamme pascale et bénédiction du feu. 2 mai : foire commerciale. 5 mai ; messe anniversaire de la mort de Napoléon Ier à la chapelle impériale. Carnaval : en mai. 25 mai foire de la Saint-Pancrace (3 jours). 2 juin : fête de saint Erasme, patron des pêcheurs et procession et bénédiction de la mer. 23-24 juin : fête de la Saint-Jean. Fin juin : 3 journées du Festival Telebedeciné. 24 juill. : fête du livre corse. Journée des artisans : en juill. Festival international de musique des Milleli : 2ème quinzaine juill. 15 août : anniversaire de la naissance de Napoléon, cérémonie religieuse, festivités diverses. Animations de rue : vendredi soir en juill. et août. Aéroport de Campo dell'Oro : aéro-club. Casino municipal.

http://www.magiclub.com/magiclub/visuals/corse_ajaccio_residence_les_sanguinaires_3.jpg

Plages de sable aménagées. Tous les sports nautiques et loisirs balnéaires, école de plongée : sociétés sportives, stade; chasse, pêche ; centre équestre, champ de courses. Golf de Sperone. Campings. Village de vacances de Capitello. Vie associative importante sportive, de loisirs et socioculturelle (développement du tourisme, folklore, peintres corses). Artisanat créateur actif. Office de tourisme.avec la "Corsicada".

http://www.ajaccio-tourisme.com/fr/

Musées

  • Salon napoléonien au 1er étage de l'hôtel-de-ville : tableaux, documents, souvenirs, meubles.
  • Musée national de la Maison Bonaparte : mobilier, portraits, autographes, armes.
  • Musée du palais Fesch, une des plus importantes collections françaises des écoles italiennes du 14ème au 19ème (oeuvres de Botticelli, Tura, Le Titien, Véronese, Canaletto.).
  • Musée privé du Capitellu, 18 bd Danielle-Casanova : histoire d'Ajaccio.
  • Musée A Bandera : musée d'histoire corse et méditerranéenne.
  • Bibliothèque fondée en 1800, palais Fesch, plus de 50000 volumes.